"L'espoir était un poing serré dans une poche de pantalon." Chez VALFRET il y a la montagne, immense, intense, sans limite. Et puis avec elle, collée aux pentes, la ruralité profonde, ses heures creuses, son ennui, son oubli, son délitement sans fin ; tout ceci narré depuis l'intériorité adolescente, instable et fracassée par essence. Dans La Montagne, la tension entre ces deux pôles magnétiques - celui de la contemplation et celui de la saturation incendiaire - trouve son point...